empire

Le week-end dernier, avec Philippe, nous sommes descendus sur Chaniers pour participer au tournoi NPoW (Napoleonic Principle of War).

La dernière fois que j'avais joué à cette règle c'était en 2018 au tournoi de Limetz et encore c'était sous le format 300 pts alors que cette fois-ci, à Chaniers, on jouait en 550pts.

J'ai toujours eu beaucoup de mal à jouer car la règle me paraissait complexe et j'avais toujours un goût d'inachevé à la fin des parties. Aussi Philippe m'a remis un peu le pied à l'étrier la semaine précédente en me faisant refaire une bataille pour me rafraichir les idées et la mémoire.

Alors que traditionnellement à NPoW 300, on amenait 2 armées (Français et Coalisée) afin de les jouer alternativement, ici, on ne jouait que 3 parties (2 le samedi et 1 le dimanche) car le format est plus important en figurines et temps de jeu (3h30 à 4h) et une seule armée car, comme pour "Bataille Empire", on défendait les couleurs d'un camp.

Les Christophe(s) avaient donc prévu deux équipes, l'une, "Coalisée" : Damien, Pépé, Hervé, Alex et Yves, et l'autre "Français et Alliés" : Christophe, Didier, Alain, Philippe et moi même.

Pour ces rencontres, j'ai choisi une armée "Français à Ligny, 1815" commandée par le Gl Vandamme et forte de trois divisions d'infanterie, d'une petite division de cavalerie légère et d'une division de cuirassiers.

A ce format, la table étant plus grande (120 x 180) que sur le format 300, les détections sont plus aléatoires et les manoeuvres plus importantes ce qui apporte un peu plus de sel au jeu.

La première partie me voit opposé à Yves, l'ami Lyonnais qui joue une belle armée Russo-prussienne. Je sais qu'avec Yves, le jeu sera plus que plaisant ce qui est parfait pour un début de tournoi. Cependant ce sera difficile car il ne lâche rien et maîtrise la règle beaucoup mieux que moi.

Ma division de cavalerie légère s'est positionnée derrière le bois et attend de voir les mouvements Prussiens pour agir.

Le général Lefol, emmène sa division sur la colline dont c'est l'objectif alors que le général Delort, avec sa division de cuirassiers, entreprend un large mouvement tournant.

Le général Habert et ses régiments occupent le centre du champ de bataille, en deçà de la rivière.

La division Lefol a pris pied sur la colline et s'apprête à la défendre contre une division mixte Prussienne, les cuirassiers ont bien avancé et vont menacer les flancs Prussiens.

Au centre, toutes les divisions (dont une belle division de la Garde Russe) se font maintenant face et les combats sont violents. Après 3h30 de jeu, Yves occupe une bonne partie des objectifs qu'il s'était fixé et gagne ainsi la bataille 127 pts à 110.

Belle partie amusante et enlevée.

La partie du samedi après midi me voit affronter Hervé et ses Autrichiens 1813. Hervé est un vrai bon joueur qui maîtrise bien la règle.

Toute la partie, Hervé va faire preuve de fair-play et de beaucoup de pédagogie ce qui va me mettre à l'aise et me faciliter le jeu, grand merci à lui.

Au centre, ma division a été détectée et occupe prudemment la plaine entre bois et champ.

Sur l'aile droite, deux nouvelles divisions (infanterie et cuirassiers) sont elles aussi découvertes, mais avancent résolument vers l'ennemi. Attention au retour de bâton.

 Sur l'aile gauche, la division Berthezène soutenue par la division de cavalerie légère Domont, a pris la colline qui est son objectif.

Les Autrichiens sont découverts et les cuirassiers, comme sur la partie précédente entreprennent un mouvement tournant pour menacer les flancs d'une division d'infanterie.

Au centre, la seule division Habert va subir la pression Autrichienne mais fera mieux que résister.

Là encore, c'est surtout sur les prises d'objectifs que la décision va se faire. Hervé va gagner la partie 122 pts à 100.

Une nouvelle partie qui fut toute aussi plaisante, acharnée et amusante que la précédente.

Retour à la salle de Chaniers le dimanche matin pour affronter l'armée Autrichienne (encore une) de notre ami Lyonnais, Pépé. Celui-ci maîtrise mieux que moi la règle (en fait qui le fait moins bien que moi ? 😀) et son armée est nombreuse mais mal commandée car tous ses généraux sont classés "mauvais" ce qui va s'avérer être un réel handicap pour tout ce qu'il va entreprendre.

Sur mon aile droite, Pépé très agressif lance sa division de cavalerie vers mes divisions qu'il n'a pas détectées pensant, espérant qu'il y a au mieux une division de cavalerie et un leurre. En fait, il y a une division d'infanterie et la petite division de cavalerie légère qui ont pour objectif la colline placée derrière les cavaliers Autrichiens ..... Cette action "suicidaire" sera lourdement contrée et la colline/objectif sera prise peu après.

Sur mon aile gauche, la division d'infanterie du général Berhezène a reçu l'ordre de prendre la colline et de la tenir. Pépé a mis les moyens pour me contrer à cet endroit car il dispose de deux divisions d'infanterie soutenues par un peu de cavalerie et d'un fort régiment  de cavalerie sous les ordres directs du général en chef, régiment de cavalerie qui a reçu l'ordre de contourner et déborder la colline afin de menacer les arrières du dispositif Français, c'est pourquoi un régiment de cuirassiers se retourne et fait face.

Pépé, va lancer une attaque qu'il a prévu par vague mais laisse sa seconde division d'infanterie trop loin pour qu'elle puisse intervenir à temps et efficacement. De plus, il a gardé deux autres divisions dans sa zone de déploiement qui ne participeront pas du tout à la bataille.

Son attaque sera repoussée et il va perdre un peu plus de 25% de son armée quand je ne perd que 10% de la mienne. Etant également un peu mieux positionné sur les objectifs, je gagne la partie sur un 128 pts à 110.

La bataille fut vive et meurtrière et j'ai passé un bon moment de jeu avec un Pépé toujours aussi agréable à affronter.

En conclusion, j'ai passé un excellent week-end de jeu et le format 550 pts sur une grande table et en équipe m'a bien plu. Merci aux Christophe(s) pour l'organisation de cette manifestation si sympathique.

L'équipe "Français et Alliés" gagne la campagne contre les "Coalisés" avec un écart d'environ 100pts cumulés. Personnellement, je finis à la 4ème place sur 10, Philippe finissant, pour sa part, à la 3ème place.

Parallèlement à nos rencontre NPoW, un tournoi MeG antique médiéval était organisé par Denis et regroupait 6 joueurs ce qui m'a permis de revoir quelques amis des IPO, Gilles et Renaud.

... et en attendant 2023, cette toute dernière unité et dernier post pour cette année.

Il s'agit de figurines représentant la révolte dans le Tyrol, commandée par Andréas Hofer.

Ces figurines que j'ai depuis près de 20 ans et qui dormaient jusque là dans mes réserves, sont des Old Glory (réf ANT01).

Elles me serviront dans mon armée autrichienne d'unité de milice et pourra être intégrée dans des scénarios pour jouer le même type de rôle que la guérilla espagnole lors de la guerre de la Péninsule.

Dernière unité en date.

Cette unité prussienne représente le 1er escadron du 8ème hussards (major von Colomb) comprenant 3 escadrons pour un total de 450 cavaliers. Cet escadron a gardé, en 1815, sa tenue des Lieb-hussarens à "tête de mort".

Il appartenait au IVème Corps (von Bülow), réserve de cavalerie (von PreuBen) 2ème brigade (von Watzdorf).

Ces figurines sont des Campaign Games Miniatures.

Après l'unité d'infanterie de réserve, voici une unité de cavalerie de landwehr de Westphalie aux distinctives vertes.

Lors de la campagne de Belgique (1815), ce régiment fort de 4 escadrons et 600 sabres était commandé par le major von Wulffen. Il appartenait au 1er corps (Gl von Zieten) 2ème brigade (von Pirch II).

Les figurines sont des Campaign Games Miniatures.

Comme indiqué précédemment, j'ai commencé la peinture de quelques unités prussiennes 1813 - 1815 afin de compléter mon armée et la passer en 300pts.

Voici la première, il s'agit d'une unité de la réserve. Lors de la campagne de 1815, la plupart des vétérans de ces régiments de réserve, survivants des campagnes de 1813 et 1814, furent regroupés et purent ainsi former de nouveaux régiments de ligne....

Les figurines sont des Campaign Games Minitures.

Le plaisir de jouer à "Blücher" et un évènement comme celui auquel j'ai pu participer début décembre a relancé mon envie de repeindre quelques unités "Empire".

Tout d'abord un régiment de hussards autrichiens (7ème régt "Liechtenstein")

Ces figurines, que j'avais dans ma "montagne de plomb" depuis très longtemps, sont des Essex Miniatures.

Puis, d'ici peu, je vais réaliser une batterie d'artillerie autrichienne....

Ensuite, j'ai la volonté de renforcer mon armée Prussienne 1813 - 1815 et de la passer à 300pts ce qui va m'obliger à peindre plusieurs unités, dont voici les 2 premières :

- Landwehr de l'Elbe aux distinctives "bleu ciel"

- Landwehr de Westphalie aux distinctives "vertes"

Les figurines sont des AB miniatures, achetées lors de la convention de Ballainvilliers. Le commandement de cette unité vient de chez Campaign Games Miniatures.

J'aurai ensuite à peindre une unité de réserve et deux unités de cavalerie. Cet ensemble me permettra d'avoir les choix nécessaires pour varier les plaisirs.

Sur le flanc droit du champ de bataille, les combats se sont déplacés vers Pausnitz où le corps de Bagration est assailli de toutes parts par les attaques combinées des fantassins de Soult et des cavaliers de Murat.

La réserve autrichienne s'est positionnée en arrière de Pausnitz et couvre la retraite pied à pied  du corps de Bagration alors que Kollowrath résiste toujours aux assauts Français.

Au nord du Pratzen, la garde Russe repousse les attaques des fantassins Français près du village d'Holubitz.

 Le Santon est tenu solidement par Soult et ses divisions ....

Une pause a lieu dans l'offensive française dont les forces se regroupent pour attaquer à nouveau. Le corps de Bagration sous l'impulsion de son chef, s'est réorganisé en seconde ligne. Les Autrichiens bien positionnés attendent l'attaque de pied ferme.

Au sud du plateau de Pratzen, Langeron est passé à l'attaque et bouscule les divisions de Davout.

 Dans un ultime effort, la garde Russe contre attaque sur le Pratzen, soutenue par la cavalerie de Liechtenstein

L'attaque française se brise devant Pausnitz, fantassins et cavaliers n'arriveront pas à percer la ligne défensive autrichienne.

Status quo également sur le plateau où les Français piétinent devant la résistance Russe.

La nuit arrive .... au nord, près du Santon et d'Holubitz, les Français n'ont pu percer le verrou Austro-Russe. Sur le plateau, les attaques se sont enlisées et aucun des deux adversaires n'a pris l'avantage. Au sud du Pratzen, les forces combinées de Kienmayer, Doktourov et Langeron ont repoussé les attaques françaises et sont passées à l'offensive, forçant Davout à s'arc-bouter  en défense sur les villages de Telnitz et Sokolnitz.

La fin de la bataille est arrivée, aucune des deux armées n'occupe seule le champ de bataille. Les combats ont été rudes et les pertes sévères. Les Français ont perdu 12 brigades et plusieurs autres sont bien mal en point.

Du côté Austro-Russe, on n'est guère mieux loti avec 9 brigades détruites et d'autres en difficulté.

L'une ou l'autre des armées aurait dérouté avec 24 brigades perdues, ce qui n'est pas le cas ici, même si les Austro-Russes ont infligé un peu plus de pertes aux Français.

Personne n'ayant pu obtenir une victoire décisive sur le champ de bataille, nous dévoilons nos objectifs secrets afin de déterminer s'il y a un vainqueur.

Les Français avaient pour mission de prendre et tenir Telnitz ce qu'a très bien fait Davout, leur second objectif, également atteint fut la prise du village d'Holubitz par les fantassins de Soult. Par contre leur deux autres objectifs n'ont pu être atteints : prise d'Austerlitz et prise du village de Reischmannsdorf qui se trouvait sur les arrières des corps de Doktourov et Langeron.

Pour les Austro-Russes, il y avait également 4 objectifs à atteindre. Le premier était de garder Austerlitz où s'étaient positionnés l'Empereur d'Autriche et le Tsar de toutes les Russie, Alexandre, ce qui fut fait.

Les suivants étaient la prises des deux villages défendus par Davout : Telnitz et Sokolnitz qui restent, à la fin de la bataille aux mains des Français malgré la forte pression exercée par les Russes.

Le dernier objectif devait être atteint par Bagration, il devait prendre le Santon, mais devant l'occupation en force de la colline il fut impossible au prince Russe, constamment sur la défensive, de déloger les Français des hauteurs.

Les Austro-Russes ayant un petit avantage en pertes infligées et les Français un avantage sur les objectifs atteints, la bataille s'achève sur un status quo.

Alors que la nuit est tombée, les deux armées meurtries se replient en bon ordre.

L'effet des canons Russes lors de la bataille ....

(le fichier vidéo est lourd, laissez le se télécharger avant lecture sinon cela sera très haché ....

mettre en lecture, tenir le point bleu d'avancée avec le clic gauche, laissez s'opérer le téléchargement puis relâcher le clic de la souris)

Remerciements

Cet "Austerlitz" fut la première vraie grande bataille multijoueurs à laquelle j'ai pu participer Ce fut un réel plaisir que de partager ce samedi avec mes amis du club, merci à eux pour cet excellent moment de jeu.

Un grand merci tout particulier à Philippe, à l'initiative du projet et qui a su le mener jusqu'au bout de main de maître.

 La plus grande partie du champ de bataille s'est maintenant embrasé.

Entre Holubitz et Pausnitz, Murat (Jeff) a lancé la charge de ses lourds cavaliers, cuirassiers et dragons qui vague après vague, viennent s'écraser sur les brigades Russes, soutenues par une forte artillerie qui fusille à bout portant les escadrons Français.

 Une brigade de hussards traverse les lignes et emporte une batterie à cheval Russe. le général d'artillerie Koutaizov, qui dirigeait la batterie s'en sort de justesse et part se réfugier dans le carré d'infanterie le plus proche.

Pratzen est investi par les forces des deux camps, dans la plaine, les combats font rage .....

 Sur l'autre aile, Le corps de Kienmayer fait son effort sur Telnitz .... les brigades Françaises, après avoir pris et assuré la défense de Sokolnitz, s'avancent au pied du plateau pour affronter Russes et Autrichiens ....

Sur le plateau, la Garde Russe est opposée aux divisions françaises qui, à leur tour investissent les pentes..

Vue d'ensemble en milieu d'après midi ....

Le reste du brouillard s'est enfin dissipé, laissant apparaître un corps de la réserve autrichienne qui se dirige vers le point le plus chaud de la bataille où les corps Kollowrath et Bagration sont en difficulté ...

Le corps du général Langeron prend pied résolument sur la partie sud du plateau de Pratzen alors que les Russes de Doktourov s'apprêtent à recevoir les divisions françaises.

Les combats au nord du plateau sont de plus en plus intenses .... aucun des deux camps ne parvient à prendre un avantage décisif à ce moment de la journée ....

Le champ de bataille est maintenant en ébullition, partout, feux et charges se succèdent

Le corps de réserve autrichien est enfin arrivé et se positionne, soulageant Bagration dont les brigades de cavalerie qui étaient sous la pression des escadrons Français, se replient en bon ordre .....

Sur l'aile gauche, Langeron et Doktourov se sont lancés à l'attaque des forces de Davout qui plient, sans rompre, sous le choc des deux puissants corps alliés.

En ce début de mois de décembre, la luminosité décline rapidement, chaque camp va tenter, dans un dernier effort désespéré de culbuter les divisions ennemies et donner enfin la victoire à ses armes.

Soult passe la rivière (Goldbach) et lance ses divisions sur Blasowitz et Holubitz ...

Sur l'aile gauche du dispositif Austro-Russe, Davout avance ses premières divisions vers Telnitz qui est l'un des objectifs secrets qu'il doit prendre et tenir.

Vient le tour des Austro-Russes, Bagration dévoile une partie de sa division d'infanterie et sa division de cavalerie. A ses côtés, le général Autrichien Kollowrath engage la division Russe de Miloradovitch pour soutenir l'avancée de Bagration....

Au centre, sortant du brouillard, l'infanterie de la Garde Russe du Grand Duc Constantin s'avance vers le Pratzen qui est également l'objectif du gros corps de cavalerie de Liechtenstein ....

Alors que les Français ont pris pied sur le Santon, les batteries Russes se sont déployées et font feu sur les brigades resserrées faisant de lourdes pertes ....

Le général Buxhowden (Manu) lance les corps Kienmayer et Doktourov en direction de Telnitz. Son artillerie lourde fait ses premiers feux sur les divisions françaises qui se sont positionnées près du village.

Le corps de cavalerie de Liechtenstein prend pied sur le Pratzen.

Une seconde division française sous Davout s'est déployée et prend position autour du village de Sokolnitz.

Le corps d'armée du général Doktourov passe la rivière et s'apprête à attaquer les villages.

En avant du Santon et près du village d'Holubitz, le brouillard s'est en partie dissipé en voit s'avancer le reste des forces austro-russes de Kollowrath et du Prince Bagration. Les combats qui se sont engagés sont de plus en plus violents car il est clair maintenant que Napoléon a placé son effort principal sur cette aile.

Le brouillard se lève de plus en plus, laissant apparaître le corps du général Langeron qui s'avance résolument vers le plateau de Pratzen.

Une petite poche de brouillard ne s'est pas encore dissipée, Napoléon (Franck) et Koutouzov (Geoffroy) observent avec attention les mouvements et premiers feux de la bataille ....

Notre projet de reconstitution de la bataille d'Austerlitz qui a eu lieu le 2 décembre 1805, a pris forme ce samedi 3 décembre dans notre club de Limetz.

9h30 : Le champ de bataille est mis en place ....

Chaque camp s'affère et prépare ses différents corps ....

Ici, les Austro-Russes ..... notre "reporter" s'est vu refuser l'accès aux forces françaises sous le prétexte peut crédible qu'il fut un espion 😂

Philippe; notre Grand Ordonnateur regroupe les participants et donne les dernières instructions ......

Pour le camp Français :

- Napoléon 1er - Franck

- Le maréchal Davout - Yann

- Le maréchal Soult - Bastien

- Le maréchal Murat - Jeff

Pour les Austro-Russes

- Le maréchal Koutouzov et Grand Duc Constantin- Geoffroy

- Le général Buxhowden - Manu

- Le général Prince Bagration - Thierry

Alors que les "Français" se sont isolés pour mettre au point leur plan d'action, l'artillerie Russes fait ses tests en utilisant ses marqueurs de feu ....

Les Austro-Russes profitent de l'absence des Français pour se déployer sous un "brouillard de guerre" afin de tromper les Français sous leurs positions exactes.

...ce qui, dès leur retour, amuse et inquiète le camp Français .... L'Empereur est perplexe ....

Napoléon donne ses dernières instructions à Soult avant le déclenchement des hostilités .....